En outre, il permet de récupérer jusqu’à 95 % des matériaux ayant une grande valeur, comme le lithium, le nickel et le graphite, et ce avec un plus haut niveau de pureté que les procédés de recyclage traditionnels. Enfin, ce procédé réduit les émissions polluantes et les résidus.

« Plutôt que de développer un procédé qui redonne un peu de vie à des batteries vieilles de 10 ou 12 ans, notre procédé nous permet d’offrir aux fabricants de batteries les ingrédients stratégiques permettant d’en produire de nouvelles », nous a expliqué M. Couture, lors d’une visite à l’usine-pilote d’Anjou, dans la région de Montréal.