Prix de journalisme en loisir : Notre collaboratrice Claudine Hébert remporte un 1er prix

Claudine Hébert a gagné le 1er prix de la 37e édition du Prix de journalisme en loisir, dans la catégorie Écrit long (+ de 1000 mots) à portée provinciale ou nationale pour son article « Le camping au service de l’art » publié dans le magazine Camping-Caravaning.

En plus d’écrire pour AutoMédia, Les Affaires et plusieurs autres magazines, Claudine collabore depuis 2005 à la revue Camping-Caravaning. Avec toutes ses années de métier, elle n’en est pas à son premier prix dans le loisir. C’est plutôt un « lucky seven » comme elle l’a décrit après avoir remporté plusieurs 2e et 3e places.

« Après 25 ans, j’ai enfin percé le code du jury du Conseil québécois du loisir. Merci de me donner l’occasion de savourer le saint Graal »

a-t-elle lancé lors de son discours. La récipiendaire se disait vraiment heureuse d’avoir remporté un prix « difficile à aller chercher. En plus, le trophée est vraiment beau! »

Les prix de l’édition 2022 ont été annoncés par le président du CQL, Pierre-Paul Leduc le samedi 7 mai dans le cadre du gala de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ). La cérémonie clôturait d’ailleurs la Semaine de la presse et des médias.

Au total, 128 reportages ont été présentés par 80 journalistes provenant de partout au Québec.  De ce nombre, 98 reportages ont été soumis aux membres du jury qui ont sélectionné les premiers prix de chacune des quatre catégories (Audio-radio, Écrit court, Écrit long et Vidéo-télévision) en plus d’un prix Coup de cœur.  Ces huit lauréats ont reçu des bourses totalisant 6 100 $ ainsi qu’un trophée commémoratif.

C’est le Conseil québécois du loisir qui a annoncé les lauréats·es de cette 37e édition du Prix de journalisme en loisir.  Ce prix vise à reconnaître l’excellence du travail des journalistes. Ceux-ci contribuent à faire mieux connaître l’apport des intervenants du milieu associatif dans le domaine du loisir, les diverses formes de loisirs pratiqués au Québec ou par des Québécois·es. Les impacts du loisir, notamment aux niveaux individuel, social, culturel, environnemental et économique sont particulièrement recherchés.

 

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