
Traiter le data comme de l’or – dès maintenant
Toutes ces possibilités de demain viennent avec des responsabilités, pour ne pas dire des obligations, en ce qui a trait à la propriété, au contrôle et à l’utilisation des données. Et, toujours selon le président de la CADA, l’architecture de ces nouvelles sources de revenus et de profits est en train d’être créée – aujourd’hui même.
Du coup, M. Reuss intime les concessionnaires de considérer, dès maintenant, certains des points suivants :
- À qui appartiennent les données de leur DMS ? Sont-ils en mesure d’y accéder comme bon leur semble ou doivent-ils payer des frais d’accès/connexion ? (À cet égard, M. Reuss rappelle que plusieurs États américains ont légiféré sur la chose devant les tribunaux – voir les exemples à automedia.ca/Talkauto2019)
- Est-ce que leur constructeur automobile propose des accords de partage de données ?
- Où sont stockées les données ? Est-ce qu’un plan d’action en cas de perte ou de vol de ces données a été mis en place – et testé ?
Le nouveau dirigeant de la CADA a conclu le plus simplement, mais le plus directement du monde : le data représente l’or d’aujourd’hui et les concessionnaires se doivent de le traiter de cette façon.