SSQ : En fait, nos produits sont déjà adaptés à cette réalité, mais la présentation faite au client est différente.
Avec une vision encore plus futuriste, que dites-vous des voitures autonomes et des routes intelligentes ? Les financiers devront-ils bientôt développer des produits ?
PPP : Je les vois dans un paysage moins hostile que le nôtre, il faut penser aux conditions climatiques et au relief des routes. Dans les zones urbaines, peut-être …
SSQ : Je ne le vois pas demain matin, pour développer un produit, il faut une masse critique pour le rentabiliser. Les voitures autonomes ne seront pas accessibles à l’ensemble de la population rapidement. Cinq ans, c’est à la fois proche et loin et pour développer un produit ou l’adapter, ça ne prend pas cinq ou 10 ans.