Pendant deux soirs de suite (les 25 et 26 juin), une centaine de personnes ont festoyé comme des rois dans un restaurant de la rue Bélanger. En soi, un évènement relativement banal. Des bons restos bondés à Montréal, ce n’est pas ce qui manque.
Mais lorsque tous les invités débarquent d’une Mercedes-Benz totalement électrique conduite par un chauffeur. Lorsque ces convives regroupent des gens d’affaires connus, des artistes et des influenceurs. Lorsque le chef Simon Mathys, qui a ouvert le Mastard en 2020, s’allie à J-C Poirier, chef-propriétaire du restaurant St. Lawrence à Vancouver et détenteur d’une étoile Michelin, pour composer ensemble un menu six services dont les saveurs s’inspirent des valeurs d’une marque automobile, nous sommes désormais en présence de « Un avant-goût du futur », un évènement qui sort de l’ordinaire.
« C’est une nouvelle façon de connecter avec notre clientèle », résume Nathalie Gravel, directrice nationale du marketing et des communications chez Mercedes-Benz Canada.
En y pensant bien, une nouvelle façon qui va de soi. Deux compagnies plus que centenaires qui deviennent partenaires parce que leur avenir repose sur des lignes de vie similaires.
Partenariat naturel
Le Guide Michelin identifie les meilleures tables, Mercedes-Benz nous y conduit. Des inspecteurs recherchent la perfection culinaire pendant que des ingénieurs réinventent l’excellence de la mobilité. Mieux encore : l’étoile s’avère l’icône favorite des deux célèbres marques.
« Nos piliers sont l’esthétique, la technologie et la durabilité », dit Nathalie. Or, il se trouve que les mots du vocabulaire gastronomique de Michelin et du lexique automobile de M-Benz sont interchangeables : exécution impeccable, précision, énergie renouvelable, puissance électrisante, élégance, etc.
Autrement dit, des pétoncles d’Hokkaido et leur mousseline nappés d’une sauce au beurre d’agrumes fumé et caviar partagent plusieurs points en commun avec une berline EQE 350 4MATIC et un VUS Mercedes-Maybach EQS 680.
Cette réalité aussi indiscutable que savoureuse a frappé l’imagination d’un esprit allumé chez Mercedes-Benz. Puis quelqu’un chez Michelin a dit : « Non mais quelle brillante idée ! » Dès lors, l’équipe de Nathalie Gravel a passé des mois à planifier ces sorties inoubliables afin que des gens au carnet d’adresses bien rempli racontent la fois où deux chefs talentueux ont uni leur passion pour créer un bavarois aérien au Bleu d’Élizabeth avec baies de salal et crumble qui, je te le jure, évoquait l’accélération d’un véhicule électrique…