Je répète que ces résultats ont été obtenus en utilisant des techniques de conduite que, hélas, la majorité des conducteurs (je m’inclus) mettent rarement en pratique (je vous réfère à mon éditorial, page 4).
À la lumière d’un exercice comme l’EcoRun, il est néanmoins évident que l’industrie automobile moderne parvient chaque jour à extirper un peu plus de kilomètres de chaque litre d’essence ou alors d’une quantité d’électrons et d’hydrogène.
Voilà d’excellentes nouvelles pour le consommateur et l’environnement.