De la 2e et 3e chance au crédit ? Ben oui !

Vous avez sûrement déjà vu la publicité télévisée accrocheuse de Maxi avec l’humoriste de renom Martin Matte. Elle se termine toujours par : Maxi, ben oui, Maxi ! Le message que l’on veut nous transmettre est le suivant : les mêmes produits que partout ailleurs, de qualité, toujours frais et à des prix imbattables. On sent bien aussi dans la publicité le petit ton moqueur qui cherche à nous dire : venez dont le constater par vous-même.  Collaboration spéciale: Réal Breton, président Iceberg Finance 

 

Je ne compte plus le nombre de fois où notre équipe des ventes s’est fait dire : « Nous n’avons pas vraiment de clients en 2e et 3e chance au crédit, c’est trop compliqué à travailler, ce n’est pas une bonne clientèle, ce n’est pas assez payant », et j’en passe. Pourtant, je peux vous assurer que c’est tout le contraire ! Pourquoi ? Voyons voir : 

  • Marché important : Plus de 25 % des ventes automobiles au Québec (comme au Canada d’ailleurs) font l’objet d’un financement en 2e ou 3e chance au crédit.
  • Trop compliqué, vous dites ? : Des prêts qui peuvent être approuvés selon certains prêteurs instantanément ou en quelques heures.
  • Très bonne clientèle : ll s’agit de clients qui ne demandent qu’à être bien conseillés, qui sont fidèles et qui seront de bons ambassadeurs pour votre entreprise.
  • Intéressant : Plus de 50 % de ces clients achètent des produits d’assurances ou une garantie prolongée lors du financement.
  • Doublement intéressant : La grande majorité des clients changera de véhicule avant 36 mois, en crédit ordinaire ou, à tout le moins, en ayant obtenu de meilleures conditions de crédit sur leur nouveau véhicule.

Et comme déjà mentionné dans nos chroniques précédentes, c’est une clientèle en croissance depuis cinq ans et qui n’a malheureusement pas encore atteint sa pleine maturité. 

 

Pour avoir du succès 

De la 2e et 3e chance au crédit ? Ben oui ! Et comment avoir du succès auprès de cette clientèle ? Avec un inventaire de véhicules approprié, du personnel bien formé et à l’écoute de ses besoins spécifiques, un service professionnel et des prêteurs reconnus qui travailleront en collaboration avec vous. Voilà une formule à succès assuré !

Et si je vous disais que plusieurs concessionnaires et marchands au Québec vendent plus de 50 véhicules par mois à des clients en crédit spécialisé ou alternatif, me répondriez-vous : De la 2e et 3e chance au crédit ? Ben oui ! 

Bonnes ventes ! 

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