2 millions de Mazda au Canada

ALBI vend la deux millionième Mazda au Canada

 

Quand Bruno-Pierre Gougeon, 30 ans, s’est rendu chez ALBI le Géant Mazda, à Mascouche, avec l’idée de remplacer sa Mazda3 2014, le conseiller aux ventes Sébastien Rivest l’a convaincu de signer pour une nouvelle 3. Ce qu’il ignorait, c’est qu’il venait du coup de se procurer la 2e millionième Mazda vendue au Canada !

À dire vrai, les astres étaient bien alignés : la 3 est le modèle le plus populaire de Mazda (plus d’un demi-million d’exemplaires écoulés au pays depuis 2003), tandis qu’ALBI vend carrément le plus de Mazda d’un océan à l’autre. « Nous savions que le chiffre magique approchait et que nous avions environ 1 chance sur 4 que la vente se produise chez nous », a raconté Denis Leclerc, le président du Groupe ALBI le Géant.

Ce dernier et sa troupe se sont arrangés pour que le jeune homme se souvienne toute sa vie de son achat. Ils l’ont en effet invité à revenir chez ALBI mais cette fois pour fouler un tapis rouge sous une salve d’applaudissements nourrie par des hôtes de marque, dont Jacques Parent, directeur régional de Mazda Canada, qui a eu le plaisir d’annoncer à M. Gougeon qu’il aurait congé de paiements et de frais d’entretien mécanique pour les deux prochaines années.

Parent s’est même permis une prédiction : « Mazda Canada a mis 34 ans pour afficher un million de ventes (ndlr : en septembre 2002, encore au Québec, chez Mazda de Repentigny) et moins de la moitié de ce temps pour atteindre 2M. Je prédis qu’il ne nous faudra que 7 ans pour arriver à 3M. »

On s’en reparle donc en 2023…

 

SUR  LA PHOTOS 

Dans l’ordre habituel, Bruno-Pierre Gougeon, le 2 000 000e acheteur d’une Mazda au Canada, Rania Guirguis, directrice des opérations-concessionnaires, région de l’Ouest, Denis Leclerc, président du Groupe ALBI le Géant, et Jacques Parent, directeur régional de Mazda Canada, région de l’Ouest.

 

ARTEFACTS 

Vitrine Albi

Pour la postérité (et pour rigoler un brin), ALBI avait préparé un présentoir contenant de précieux artefacts, dont le contrat de vente, le stylo ayant servi à le parapher, la bouteille d’eau de l’acheteur et une horloge indiquant l’heure exacte (17h02) à laquelle le conseiller aux ventes a commencé à s’occuper du client, une habitude que le président d’ALBI a instauré en système dès ses débuts en affaires.

Mascouche a été le témoin d’une belle complicité entre Bruno-Pierre Gougeon, l’acheteur, et Sébastien Rivest, le conseiller aux ventes.

 

 

 

 

 

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