Albi Le Géant

ALBI le Géant fête en grand !

Pendant que le centre-ville de Montréal attirait les gens venus célébrer le débarquement du cirque de la F1, l’équipe d’ALBI le Géant a organisé son propre party en marge des festivités du Grand Prix, vendredi soir dernier, et comme plus de 3 000 personnes ont répondu à l’appel, on peut sans exagération parler d’un succès… géant !

Faut-il de plus rappeler que cette foule a choisi de délaisser la rue Crescent , l’épicentre habituel du party de la Formule Un, pour se diriger plutôt plusieurs kilomètres au nord-est, dans la lointaine Mascouche, là où ALBI a créé de toutes pièces un rutilant royaume de l’automobile.

 

Le défi du stationnement

De fait, l’avenue de la Gare a littéralement été prise d’assaut ! La file d’autos jusqu’au service de valet débordait sur un kilomètre. Plusieurs invités ont choisi de se stationner eux-mêmes dans n’importe quel espace vacant jugé être à une distance de marche acceptable de la fête. Même les vaches ont prêté des bouts de leur champ. Puis les couples endimanchés, les robes longues et courtes, les talons hauts se sont mis à parader et à converger vers la concession Mazda où prenait place la fête, à côté du Infiniti, en face du Kia, au milieu d’une mer d’automobiles neuves et d’occasion.

Pour accueillir les convives, par une soirée parfaite, le soleil daignant enfin damer le pion à la pluie,  des hôtesses charmantes par dizaines, des automobiles de collection, des policières en uniforme montées sur de magnifiques chevaux dont la noble encolure attirait la caresse des visiteurs et, dans le ciel crépusculaire, un Cessna qui voletait au-dessus des têtes en tirant derrière lui une banderole bien sûr géante au nom de vous-savez-qui.

 

Et le tapis rouge !

Il commençait dehors, il se poursuivait à l’intérieur, interminable, magnétique. Qui n’a pas rêvé de fouler un tapis rouge comme à la soirée des Oscars ! Ou alors des Artis ! Malgré les attractions tout autour, les gens ramenaient leurs pas sur le tapis rouge, ne voulaient plus le quitter, et c’était la chose à faire puisqu’il n’y avait plus qu’à le suivre pour débuter une visite mémorable.

Le fameux tapis avait été déroulé dans tous les endroits stratégiques de la concession. Et un établissement de 239 000 pieds carrés en compte beaucoup, des endroits stratégiques ! On a ainsi pu admirer les quelque 150 véhicules exposés à l’abri des intempéries, le centre d’esthétique, la rampe d’accès décorée comme sur un bateau de croisière, les bureaux, le hall de livraison au plancher en céramique, une visite embellie par la présence de l’un ou l’autre des 1 300 « collègues » de l’équipe ALBI, tirés à quatre épingles et très empressés de répondre aux questions des visiteurs qui se baladaient avec des coupes remplies d’un nectar estival qu’on avait pris soin de leur tendre dès le début du tour guidé.

Après tous ces heureux détours pour compléter la découverte d’une concession pas comme les autres, après avoir salué le salon de coiffure (hé oui), le tapis rouge a finalement débouché dans l’atelier de mécanique transformé pour l’occasion en caverne aux 1001 délices.

À une extrémité de l’immense hangar, des stations de nourriture joliment transformées en puits de ravitaillement rendus pas mal plus élégants et appétissants que ceux du circuit Gilles-Villeneuve. Risotto, tartares, verdure, sushis, beignes à rendre jaloux Tim Hortons et un zillion d’autres succulentes petites bouchées salées ou sucrées pour sustenter les estomacs ravis.

À l’autre bout de la salle, une scène dressée, où vers 20h30 s’est pointée au micro Cathy Laroche, la vice-présidente communications, marketing et médias du Groupe ALBI, pour saluer ses invités et préparer le terrain à son patron, Denis Leclerc.

Celui-ci s’est amené avec sa dégaine naturelle habituelle, un gars comme les autres qui s’adonne seulement à diriger une vingtaine de concessions automobiles. Il a rappelé d’entrée de jeu que cette fête honorait d’abord et avant tout la foule massée devant lui : ses clients. « Qui ont choisi ce soir d’être ici, avec nous, et pas ailleurs », a-t-il fait remarquer. Ces mêmes clients qui ont permis à ALBI le Géant de vendre 37 856 automobiles neuves en 2016.

 

Deux surprises de taille

Ce chiffre à lui seul aurait été suffisant pour justifier le party mais Denis Leclerc avait deux autres annonces dans sa manche : l’offre « 2/1 » et l’expérience « 24/7 ».

Le « 2/1 » est une proposition dotée d’une simplicité et d’un pouvoir d’attraction sans doute inégalée dans l’industrie. Imaginez : au cours des 30 prochains jours, le client qui achètera ou louera une MX-5 se verra prêter par ALBI, le froid venu, un CX-5 sans frais, pneus d’hiver inclus. Roulez votre décapotable biplace tout l’été puis remisez-le en octobre avant de prendre la route avec votre multisegment jusqu’en avril.

Au début, Denis Leclerc avait l’intention de proposer son deal pour trois hivers consécutifs. Il s’est ravisé durant son allocution et a poussé sa générosité jusqu’à cinq hivers… si vous étiez présent à sa petite fête (vendeur un jour, vendeur toujours) !

Quant à l’expérience « 24/7 » : à compter du 1er août, un nombre croissant de concessions du Groupe ALBI seront « ouvertes » 24 heures par jour, 7 jours par semaine. « Que ce soit pour acheter, louer, poser une question ou requérir un dépannage d’urgence, il y aura quelqu’un au bout du fil pour vous répondre. Pas une machine ! Une vraie personne ! », a juré le président.

« Ce numéro 800 sera une nouvelle façon d’amener notre service à la clientèle à un autre niveau, un rêve toujours cher à Denis qui n’en démord pas : nos clients doivent être traités comme des invités, comme nous aimerions tous être traités », résume Cathy Laroche.

 

Oser plus loin

Comme pour le « 2/1 », il faudra attendre la fin de l’essai pour évaluer les véritables retombées. Mais le président d’ALBI le Géant a offert ce soir-là deux autres preuves de l’audace et de l’originalité qui l’amènent à repousser les frontières de la mise en marché de l’automobile depuis ses débuts de franchisé Mazda, en 1997.

Après ces annonces, qui ont soulevé des applaudissements nourris (et dont le succès probable payera sans doute les sushis de la soirée), la fête s’est poursuivie de plus belle avec le groupe féminin Lady’5 qui a envahi la scène pour faire trépigner l’assemblée sur des rythmes déchaînés.

La foule conquise mouvait entre l’intérieur et l’extérieur par les baies de service béantes pour se rafraîchir et goûter la nuit où se prolongeait l’envoûtement de la soirée. Car c’était la pleine lune et l’astre rond ne s’est pas gêné pour féliciter de son aura magique les fastueux efforts d’ALBI le Géant.

 

 

 

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